Au moment d'écrire ces lignes, quatre incendies de forêt font rage, toujours en partie hors de contrôle dans et autour de Los Angeles. Au moins 24 personnes ont péri dans le brasier, et le shérif du comté de Los Angeles s'attend à ce que ce nombre augmente.

Les premières actions syndicales contre le futur gouvernement sont derrière nous. La première grande action du 13 décembre à Bruxelles a rassemblé plusieurs milliers de militants des trois syndicats et de tous les secteurs économiques. Dans l'esprit des dirigeants syndicaux, l'action servait surtout à faire pression sur les négociations et sur le soi-disant parti ‘ami’, Vooruit. Un espoir vain qui ne peut que conduire au désespoir. Le parti de Conner Rousseau s'accroche plus à la N-VA de Bart De Wever qu'à sa base ouvrière et syndicale. Ce constat est clair depuis des années.

Les Américains s’inquiètent du présent et de l’avenir. Selon les sondages de sortie des urnes, seuls 26% sont enthousiastes ou satisfaits de comment les choses se passent, contre 72% de mécontents ou en colère. Bien que le marché boursier soit en plein essor, l’Américain moyen ressent plutôt les effets de la crise. 78 % d’entre eux est incapable de mettre de l’argent de côté et ne pourrait faire face financièrement à une urgence. Pour l’équivalent de 100 dollars de biens et services en 2020, aujourd’hui on paie en moyenne 120,54 dollars. Les loyers ont également augmenté de 30 %. Pendant ce temps, 800 milliardaires détiennent aujourd’hui plus de richesses que la moitié la plus pauvre de la nation.

Le nom de Frantz Fanon est intimement lié à la lutte anticoloniale de la période d’après-guerre. Son ouvrage majeur, Les Damnés de la Terre, est régulièrement cité en tant que guide pour la lutte anti-impérialiste à travers le monde. Dans cet article, Jorge Martín différencie le véritable Fanon de ses interprètes postcoloniaux, et explique tant les forces que les faiblesses de ses idées. Article paru dans le numéro 2 de Défense du marxisme.

 

D’après Revolutionary Communists of America.

Mercredi 4 décembre, le patron de la compagnie américaine d’assurance santé UnitedHealth, Brian Thompson, a été assassiné dans une rue de New York. A la tête de la quatrième entreprise des Etats-Unis, Thompson touchait un salaire annuel de 10 millions de dollars et comptait parmi les personnalités les plus détestées par les travailleurs américains. Et pour cause : son métier consistait à jouer avec la vie et la santé de ses assurés.

« La plus grande régression sociale depuis 80 ans ». C'est ainsi que le syndicat socialiste FGTB juge la « super-note » du formateur gouvernemental Bart De Wever. Cette régression « concerne les conditions de travail, le temps de travail, les salaires et donc le pouvoir d'achat, les droits collectifs, la protection sociale et les services publics. D'un trait de plume, 80 ans de progrès social sont balayés ». Une histoire d'horreur sociale qui fait plus peur que les contes d'Halloween. Vous n'êtes pas convaincu ? Voici une partie de la liste des horreurs.

Le régime syrien s’est effondré. Bachar al-Assad a fui le pays. Son armée s’est débandée et son gouvernement a capitulé. Les prisons ont été prises d’assaut et des milliers de personnes ont été libérées. Pendant ce temps, des milliers de Syriens en liesse sont descendus dans les rues.

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