Le massacre des Palestiniens de Gaza par la puissante machine de guerre de l’Etat israélien provoque dans la jeunesse et la classe ouvrière une vague de profonde répulsion. Beaucoup de gens cherchent un moyen de mettre fin à ce carnage et de pouvoir aider « concrètement » la lutte des Palestiniens. C’est précisément ainsi que la campagne internationale « BDS » (pour « Boycott, Désinvestissement, Sanctions ») est présentée par ses animateurs.

Cette déclaration exprime la solidarité de la Tendance Marxiste Internationale avec le peuple palestinien. Elle répond à l'hypocrisie répugnante de l'impérialisme occidental et de ses laquais, qui se rallient à l'Etat réactionnaire d'Israël alors qu'il exerce une vengeance sanglante sur Gaza, à la suite de l'attaque surprise du Hamas le 7 octobre. Nous expliquons en outre pourquoi la libération de la Palestine ne peut être obtenue que par des moyens révolutionnaires et le renversement du capitalisme dans toute la région.

Le meurtre de Nahel par un policier à Nanterre, mardi matin, suscite une puissante vague d’indignation et de colère à travers le pays. La vidéo est claire et nette : le policier a délibérément assassiné le jeune homme, qui ne menaçait personne. Ignorant qu’il avait été filmé, le policier a déclaré que Nahel menaçait de le tuer. C’est ce que font, sans cesse, des policiers qui se livrent à des « bavures » de toutes sortes : ils mentent, confiants dans la complicité des institutions policière et judiciaire.

Les mots « marxisme » et « communisme » comptent parmi les plus mal compris de la langue française. Ce n’est pas étonnant. Depuis sa naissance, le mouvement communiste a été la cible d’une avalanche de calomnies et de caricatures de la part des chantres de l’ordre établi.

Le 15 mai marque la « Nakba » pour les Palestiniens, ce qui signifie « catastrophe » en arabe. Chaque année, c’est une journée de commémoration et de manifestations contre la campagne de terreur menée par les paramilitaires sionistes dans le cadre de la proclamation d’Israël en 1948.

Les trois mois de méga-manifestations et de grèves ont été décrits par un quotidien français comme une véritable « levée en masse ». Cette « levée en masse » fait référence à la conscription massive lors de la révolution française de 1789 pour défendre le pays contre l'invasion militaire des puissances européennes conservatrices. La comparaison est un peu exagérée... mais elle décrit bien l'agitation rarement vue des travailleurs, jeunes et vieux, contre l'augmentation de l'âge de la retraite de 62 à 64 ans.

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