[Cette article est le premier d’une série d’articles écrits par des militants du Cercle Marxiste de Louvain-la-Neuve et de Révolution qui analysent la question des politiques identitaires, de l’intersectionnalité et de la lutte contre les oppressions sous différents angles]

Les élections américaines ont été les plus polarisées de l’histoire récente. Bien que Joe Biden ne suscitait pas grand enthousiasme, ces élections ont connu un taux de participation record en plus de cent ans. C’est surtout la possibilité de se débarrasser de Trump (ou de le maintenir au pouvoir) qui a mobilisé les foules. Mais une fois de plus, la plupart des sondeurs – qui avaient prédit une large victoire de Joe Biden – se sont trompés.

Le meurtre par la police de George Floyd – un homme noir non armé, qui a été menotté par quatre policiers à Minneapolis avant d’être étouffé – a déclenché une vague de manifestations dans tout le pays, s’intensifiant de manière incontrôlée dans plusieurs villes.

« Le mouton passe toute sa vie à avoir peur du loup, mais qui l'égorge à la fin ? Le berger ! », proverbe marocain.

Bien après la Chine (décembre 2019) et dix jours après l’Italie, les autorités marocaines ont annoncé les premières infections au coronavirus (le 2 mars) et les ont évidemment attribuées à des « facteurs extérieurs » : un Marocain venu d'Italie, puis des touristes français.

Un parti n’est pas juste une forme organisationnelle, un nom, un étendard, un groupe d’individus ou un appareil. Pour un marxiste, un parti révolutionnaire représente d’abord un programme, des méthodes, des idées et des traditions.

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